Anthroposophic Medicine Statement on Vaccination
Traduction automatique Deepl:
Les vaccins, ainsi que l'éducation sanitaire, l'hygiène et une alimentation adéquate, sont des outils essentiels pour prévenir les maladies infectieuses. Les vaccins ont sauvé d'innombrables vies au cours du siècle dernier ; ils ont par exemple permis l'éradication de la variole et permettent actuellement au monde de s'approcher de l'élimination de la polio.
La Médecine Anthroposophique apprécie pleinement la contribution des vaccins à la santé mondiale et soutient fermement la vaccination comme une mesure importante pour prévenir les maladies mortelles. La Médecine Anthroposophique n'est pas anti-vaccins et ne soutient pas les mouvements anti-vaccins.
Les médecins formés à la Médecine Anthroposophique sont tenus d'agir conformément à la législation nationale et de conseiller soigneusement les patients (ou leurs soignants) pour les aider à comprendre les informations scientifiques pertinentes et les recommandations nationales en matière de vaccination. Dans les pays où la vaccination n'est pas obligatoire et où le consentement éclairé est nécessaire, il peut s'agir de se mettre d'accord avec le patient (ou les soignants) sur un calendrier de vaccination individualisé, par exemple en adaptant le moment de la vaccination pendant la petite enfance.
En tenant compte des recherches en cours, des schémas locaux de maladies infectieuses et des facteurs de risque socio-économiques, les médecins anthroposophes individuels participent parfois à la discussion scientifique sur les vaccins spécifiques et les calendriers de vaccination appropriés. La Médecine Anthroposophique est pro-science et la poursuite du débat scientifique est plus importante que jamais dans le contexte actuel de polarisation des vaccins.
Anthroposophic Medicine Statement on Vaccination against SARS-CoV-2
Traduction automatique Deepl:
L'IVAA et la Section Médicale du Goetheanum saluent le développement de vaccins sûrs et efficaces contre le SRAS-CoV-2 dans l'espoir qu'ils joueront un rôle important pour vaincre la pandémie de Covid-19. Depuis le début de la pandémie, les médecins anthroposophes ont pris en charge des patients hospitalisés et ambulatoires atteints de Covid-19, en intégrant les traitements conventionnels et anthroposophiques et en envisageant la vaccination dans ce contexte1.
Un accès équitable
Les vaccins contre le SRAS-CoV-2 doivent être disponibles et accessibles dans le monde entier. Malgré l'initiative internationale COVAX visant à distribuer et à financer équitablement les vaccins contre le SRAS-CoV-2, les pays riches ont surtout assuré leur propre approvisionnement sans se soucier des pays plus pauvres. Les défis logistiques de la vaccination et le grand nombre de personnes à vacciner sont décourageants, même pour les pays à revenu élevé. Nous appelons donc à plus de solidarité et de coopération entre les pays.
Efficacité
Une efficacité élevée a été démontrée pour la prévention à court terme de maladies légères à graves pour les premiers vaccins à ARNm (vaccins qui agissent en déclenchant la production de protéines qui entraînent le système immunitaire de l'organisme) et un vaccin à base de vecteur viral qui ont reçu des autorisations réglementaires conditionnelles.2 D'autres vaccins basés sur différents mécanismes de vaccination sont en cours de développement ou même utilisés à grande échelle sans que les données scientifiques des études cliniques de phase III aient été publiées. Les données concernant les groupes à haut risque sont encore limitées. On ne sait toujours pas si et dans quelle mesure les vaccins interrompent ou réduisent la transmission virale - nous attendons des données de recherche opportunes sur cette question clé pour le contrôle de la pandémie ainsi que des données supplémentaires sur l'efficacité.
Sécurité
Les études sur les deux vaccins à ARNm autorisés et sur un vaccin à vecteur viral2 montrent une sécurité acceptable dans le suivi à court terme. Toutefois, des effets secondaires rares et graves ne peuvent être exclus tant qu'un très grand nombre de personnes n'ont pas été vaccinées et suivies sur une plus longue période. De même, la détection d'effets non spécifiques - qui peuvent être positifs ou négatifs - nécessite des périodes d'observation plus longues. Nous demandons donc des études à long terme suffisamment importantes et des registres de vaccination anonymisés permettant de comparer les populations recevant les différents vaccins et les populations non vaccinées. Ceci est d'autant plus important que la technologie ARNm utilisée dans certains vaccins contre le SRAS-CoV-2 n'a pas encore été largement utilisée chez l'homme.
La vaccination volontaire
Nous considérons la vaccination volontaire comme un droit fondamental des sociétés démocratiques et comme une condition préalable à un niveau élevé d'acceptation par la population, compte tenu notamment des questions qui subsistent en matière d'efficacité et de sécurité.3 Pour décider librement de la vaccination, il faut disposer d'informations détaillées et avoir la possibilité de poser des questions, de préférence dans le cadre d'une relation de confiance patient-médecin, mais aussi lors d'une vaccination de masse. En outre, les décideurs politiques devraient éviter les scénarios d'obligations indirectes de vaccination, par exemple de la part des employeurs, des assureurs ou des compagnies de transport.
Renforcer la résilience